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Le no-code séduit de plus en plus d’entreprises pour créer rapidement des outils et automatiser des processus. Mais qu’en est-il du respect du RGPD ? Entre opportunités, zones grises et bonnes pratiques, voyons comment marier agilité et conformité sans sacrifier ni l’innovation ni la protection des données.

Nombreuses applications cloud utilisées en entreprise échappent déjà au contrôle des DSI. On appelle cela le Shadow IT : un ensemble d’outils adoptés par les métiers en dehors du cadre officiel. Avec l’essor de l’IA générative, une nouvelle couche s’ajoute : le Shadow AI. ChatGPT, Notion AI, Perplexity… autant d’outils massivement adoptés, mais hébergés hors UE et soumis à des réglementations étrangères. Résultat : un paradoxe. Les entreprises pensent gagner en agilité, mais elles perdent le contrôle de leurs données stratégiques. Le problème n’est plus technique : c’est une question de souveraineté numérique et de gouvernance.

La notion d’agent IA circule beaucoup, mais reste floue pour nombre d’équipes IT. Derrière ce terme se cache une logique précise : des systèmes capables de percevoir, décider et agir de manière autonome. Pour les DSI, la question n’est pas de “tester” mais de comprendre comment ces agents s’intègrent dans un environnement existant, avec quelle valeur ajoutée et quels garde-fous. Associés au no-code, ils ouvrent la voie à des solutions métiers capables de structurer les données et d’adapter leur comportement en temps réel. Cet article présente les types d’agents IA, leur intérêt, et une méthode pour les intégrer dans un SI sans alourdir l’architecture.

Un logiciel métier devrait vous simplifier la vie. Pourtant, dans beaucoup d’entreprises, il finit par la compliquer. Trop rigide, trop lourd, ou trop bricolé, il devient un obstacle plutôt qu’un outil. On se retrouve avec des process tordus pour “coller au logiciel” ou des tableurs planqués dans un coin pour contourner ses limites. Le no-code permet d’éviter ces deux extrêmes : on part du besoin réel, on modélise un cadre clair, et on outille sans surcharger. Chez Bienfait, on ne vend pas de solutions miracles. On conçoit des logiciels métiers qui font ce qu’ils doivent faire, ni plus, ni moins et que vos équipes utilisent vraiment.

Créer un outil métier, automatiser ses processus ou concevoir un portail client ne devrait pas être freiné par le budget. En France, plusieurs dispositifs fiscaux ou régionaux — soutiennent activement l’innovation numérique. C’est vrai aussi pour les projets réalisés en no-code, dès lors qu’ils répondent à un besoin concret. Cet article vous aide à faire le tri entre CII, CIR et aides locales. Et surtout, à savoir à qui vous adresser pour enclencher le bon levier.

Dans la plupart des organisations, la gestion de la clientèle reste sous-outillée ou dépendante de solutions monolithiques difficiles à faire évoluer. Trop rigides, trop orientées produit, rarement alignées avec les processus réels. L’alternative ? Construire un logiciel de gestion de la clientèle modulaire, adapté aux pratiques métier, interconnecté au SI sans surinvestir. Le no-code, bien employé, permet de structurer cette brique de manière progressive, propre, et réversible.

Trop d’équipes pilotent leur suivi client avec des tableurs, des mails, et une mémoire collective fragile. Résultat : des occasions manquées, des relances oubliées, un pipeline illisible. Un CRM Suivi client permet de fiabiliser les interactions commerciales en les inscrivant dans un cadre clair, partagé, et mesurable. L’enjeu : construire une relation client robuste, sans alourdir vos process. Chez Bienfait, on conçoit des solutions no-code qui structurent votre démarche sans passer par la case développement.

Suivre ses clients dans un tableur, c’est faisable… jusqu’au moment où ça ne l’est plus. Quand les échanges se multiplient, que les leads s’empilent et que personne ne sait qui a relancé qui, un outil GRC devient indispensable. Mais encore faut-il comprendre ce qu’il doit vraiment faire et lequel choisir.

ERP surdimensionné, outils métiers disparates, intégrations bancales… La DSI se retrouve souvent à arbitrer entre agilité et cohérence. Pourtant, une conception claire de l’ERP sur mesure ou modulable permet aujourd’hui de construire un SI robuste, connecté, et évolutif. Même en no-code, il est possible de structurer un ERP à la carte, à condition que la DSI pilote l’ensemble. On vous montre comment.

Airtable a changé la donne pour des milliers d’équipes : une base de données visuelle, simple à prendre en main, idéale pour prototyper ou structurer ses projets sans code. Mais voilà : entre les limites du freemium, les enjeux de souveraineté des données et les besoins métiers plus complexes, la question d’une alternative finit souvent par se poser. Bonne nouvelle : des outils comme Baserow, NocoDB, Notion ou Coda offrent aujourd’hui des approches aussi puissantes parfois plus selon vos contraintes.

Besoin d’un logiciel de base de données gratuit pour mieux organiser votre boîte, vos clients ou vos projets internes ? Pas envie de plonger dans une interface digne de 1997 ou de devoir apprendre le SQL en urgence ? Bonne nouvelle : il existe aujourd’hui des outils gratuits, pensés pour les équipes non techniques, qui permettent de structurer des données propres, connectées et faciles à manipuler. Certains relèvent du no-code, d’autres sont simplement bien fichus. L’essentiel, c’est qu’ils vous permettent de construire sans coder, de partager sans vous planter, et de faire évoluer votre système sans tout recommencer. Dans cet article, on vous aide à y voir clair parmi les vraies options (pas les usines à gaz déguisées en “solutions simples”).

Fini les copier-coller manuels et les scénarios bricolés sur Zapier. Avec le logiciel Make, les équipes IT disposent d’un outil no-code pensé pour structurer l’automatisation, sans dépendre du code dur. Que ce soit pour orchestrer un CRM, relier un ERP, automatiser des relances ou fluidifier des flux de données, Make offre un pilotage fin et une interopérabilité native. Mais comme tout outil, il mérite d’être maîtrisé notamment dans un contexte d’architecture SI. Dans cet article, on vous montre comment le logiciel Make peut devenir votre meilleur allié, sans devenir une usine à gaz.

Toutes les entreprises veulent un logiciel sur mesure. Un outil parfaitement adapté à ses besoins internes, ses cas d’usage, ses contraintes métiers. Mais construire du spécifique… ça coûte, ça prend du temps, et ça mobilise des ressources rares côté DSI. Le no-code change la donne.Plus besoin de repartir d’une page blanche : on peut prototyper, tester, itérer sans recréer tout un back-end maison. Et surtout : on peut le faire en gardant le contrôle sur la sécurité, la gouvernance, et l’architecture SI. Voici comment.

Vous cherchez un logiciel de gestion de projet gratuit ? Vous n’êtes pas seul. Mais face à la multitude d’outils collaboratifs, de promesses “tout-en-un”, de versions freemium aux limites floues… difficile de s’y retrouver. Et derrière la gratuité affichée, il y a souvent des compromis : fonctionnalités limitées, automatisations absentes, ou vue d’ensemble restreinte. Alors plutôt que de courir après "le meilleur outil gratuit", mieux vaut commencer par une autre question : Quel logiciel correspond à votre méthode, vos contraintes, et votre façon de travailler ?

Le no-code s’impose comme un levier d’agilité pour les DSI. Mais derrière les interfaces visuelles, une question essentielle demeure : open source ou logiciel propriétaire ? Héritier d’une culture de transparence, d’interopérabilité et de liberté technologique, l’open source permet aux SI de garder la main sur leurs outils. À l’inverse, le propriétaire séduit par sa simplicité… mais impose ses règles. À l’heure où les plateformes no-code accélèrent la manière de concevoir des applications internes, le choix du socle **ouvert ou fermé** devient un enjeu de souveraineté et de pérennité. Nous vous partageons les clés pour faire un choix stratégique éclairé.

CRM et ERP : deux briques essentielles du système d’information… qui peinent souvent à se comprendre. À gauche, la relation client. À droite, la gestion interne. Au milieu ? Des copier-coller, des infos perdues, des process manuels qui ralentissent tout. Et si le no-code permettait (enfin) de fluidifier les échanges, sans tout reconstruire ? On vous explique comment relier ces deux mondes proprement, efficacement, sans y laisser votre budget SI.